domingo, 15 de marzo de 2009

15/03/09 Un jour en total pour se décharger et arrêter de se prendre la tête

J’en ai trop marre des mecs.
Les relations sont cher difficiles.
Je ne comprends pas au sex masculin.
Pourtant, moi, je suis difficile aussi. Je ne me comprends même pas par fois. Je ne suis même pas sûre qu’est-ce que je cherche ou qu’est-ce que je veux, ou qui je veux.

Pourquoi ils perdent l’intêret à la fille en question si vite ?
Est-ce que c’est parce qu’ils ont découvert des trucs à toi qu’ils n’aiment pas ?
Est-ce que c’est car ils sont comme ça ?
À mon avis, quand tu aimes bien les moments passé avec une persone, d’habitude tu en veux plus.

Juste comme l'autre petit con, il a commencé très intense et il a voulu m'introduire tout le monde. Il a été ok. J'ai eu une bonne impression de lui. En plus, on s'a trop marré, et on avait de la conversation. Un autre jour on était tout proche (TOUT le TEMPS avec ou sans d'autres gens). Ça avait l'air on allait être bien ensemble pour quelque temps. C'était parfait car, moi, je rentre chez moi à la fin du semestre et je ne voyait guère future ou possible mal. Alors, j'allais pas tomber amoureuse ni rien ! Et tout d'un coup, il ne se daigne même pas à utiliser le natel de son copain pour me faire savoir qu'il a reçu mes messages, ou bien me donner une réponse. Il a changé d'avis et il ne me l'a communiqué. À la fin, je suis avec lui et ses autres copains. Je crois que je les ai parlé plus qu'à lui. Et lui, il a carement essayé d'être distant et dragueur avec d'autres filles.
Et quant à moi, j'ai échangé des regards passionants avec un petit monseigneur à l'autre but du bar, j'a trop parlé avec l'un de ses amis, blablabla.
À la fin, il s'est calmé. Une fois chez lui, il nous a abandonné tous les trois pour aller au bar pour je ne sais pas quoi. Charmant. Puis, il a ramené un pot à lui qui ne pouvait pas arrêter de pleurer et buvait tout notre alcool et fumait tout mon tabac. Espèce de conardddd.
Bah, écoute, oui, il était triste. Alors on s'en fou et on lui "comprend". Après ils ont disparu pr aller cherhcer la nana qui lui avait fait mal. Et moi, j'en profite de la situation et avec l'aide des allemands, je m'en fuis. Je ne lui ai rien dit. Je voulais pas qu'il essayé de me convaincre pour rester. Je voulais dormir chez moi, j'étais trop crevée. Le jour suivant, je lui écris pr lui dire que je suis rentrée chez moi car je voulais, et q je n'étais pas soulée ni rien. Il a essayé de me contacter l'aprèm... je dormais une p'tite sieste avant de sortir faire la teuf (fête). Je crois je ne l'ai pas vue, sinon j'étais sous les effets assoupisantes de l'esprit d'après la sieste. Je lui ai appelé après vers minuit. Il n'a pas décroché. Puis, à 02h j'ai vue qu'il m'avait appelé et je lui ai appelé de retour. Tout ça va, il veut que je passe chez lui après la teuf. Bien entendu...
Je passe, tout bien. Tout très direct, mais bien. Après...le silence. C'est là que je lui ai dit que je voudrais bien qu'il me laisse savoir s'il reçoit mes messages (par rapport aux premières deux fois). Lui, il a dit pas très convaincu qqch que je n'ai même pas entendu. Bref, incompréhensible. Puis, je m'ai senti intimidé et je me suis allongée, comme pour dormir. Lui, il a fait pareil sans même une dernière caresse, bizou ou tendre pincement. Il s'est endormi à peu près un mètre de moi. On s'est pas touché en tout la nuit. On s'est même évité. Le matin, après m'avoir habiller et tout, je essaie de lui réveiller pour lui dire que je pars (je voulais lui dire aussi que je ne comptais y retourner). Sans ouvrir les yeux, il a embrassé l'air et a dit au revoir.



Le pire c’est que ça me resemblais autant à une relation que j’ai eu l’année dernière que je ne pouvais que me méfier, et je me méfiais. J'ai voulu cependant penser que je ne pouvais pas stéréotyper.

J’ai retrouvé une potte à moi l’autre jour. Elle ne va pas bien. La vie s’est oublié de la sourire. Son père vient de perdre son boulot, son frère aussi, sa mère ne gagne guère assez, elle ne peut pas bien suivre ces cours en français, son copain (5 ans) l’a trompé plusieurs fois pendant son séjour Erasmus, la femme pour la quelle elle est au pair est alcoholique et sa fille, insupportable. Là, ça me fait trop la honte de m’avoir plaint au début du semestre car je n’avais pas suffisament d’argent. Vous vous imaginez pas combien de fois je me suis dit « Il faut que tu trouves un boulot ». Je n’ai pas bossé nulle part pendant le premier semestre.

Aujord’hui, l’Espagne me manque beaucoup. C’est vrai que ton pays et tes amies, ils te manquent les plus quand tu es triste. Dommage en quelque sort. Mais, je trouve le fait même joli, sincère et honête. C’est vrai que tu te sens le plus vivant quand tu es triste. L’opéra de Dr Faustus le disait...qu’est-ce qu’elle disait ? Ouais...qqch du genre tu te sens les plus vivant quand tu es triste. En tout cas, même mes parents me manquent trop aujord’hui.

Mais bon...j’ai une vie assez génial ici. Aujord’hui ce n’est qu’un jour off.
J’ai fait pas mal des amies : j’ai un groupe de nanas suisses et françaises qui sont le top, suis énormement flattée. Elles m’ont acueillie les bras ouverts ; j’ai Otso, à qui j’adore et à qui je peux parler sans problèmes, directement de mon coeur (bon, au fin, je ne lui raconte pas tout quand même) ; et j’ai des pots un peu par tout avec qui je m’entend bien.

AHHHH ! Carolinaaaaa, je dois t’avouer que je continue à m’éclater de rire en marchant seule par les rues, et à sourire tout d’un coup quand je me souviens de qqch rigolotte ou jolie. En plus, récement j’ai remarqué que je suis un peu paranoïaque, et puis que je suis dans un état de tension horrible. J’ai eu peur deux fois cette semaine. La première, un homme m’a fait peur tant qu’il sortait d’une cabine d’une construction. Moi, j’étais inmerse dans ma musique, avec mon état d’esprit totalement adapté à la chanson ; je marchais tête baissée juste à côte d’elle, quand un homme a failli me marcher desus en sortant de la putain cabine. J’ai sauté en bougeant mes mains de manière anxieuse dans l’air. Je lui ai insulté les moment où mes pieds ont touché le sol. Et aprés j’ai éclatée de rire plusieurs fois en marchant vers la fac...seule, j’étais seule, en train de rire et entourée de gens qui marchaient eux aussi.
Bon, la deuxième...un peu pareille...je marchais avec ma musique et l’état d’esprit correspondant quand j’ai passé devant une sortie d’un hôtel ou je ne sais pas quoi, et j’ai retrouvé une voiture à un mètre de moi. Encore, j’ai sauté, je m’ai protégé la tête avec mes bras et je l’ai insulté l’air du style « fils de pute, conard, putain tu m’as faiit peur ». Eux...ils se sont éclatés de rire, ils se sont moqués trop de moi, c’est sûre. Ils ont trop rigolé.

Ah ! Enfin, je m’entend mieux avec les Erasmus espagnols.
Au début je méfiais pas mal d’eux. J’avais l’impression qu’ils me kiffaient pas du tout, qu’ils avaient senti ma distance par rapport aux espagnols.

Bon, je pense je vais finir là car je dois vraiment bosser un peu mes cours, particulièrement celui de Traduction Juridique. Beurk...C’est la galère.

À la prochaîne mes biches,

Bizou